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Je thème, c'est ma version ... la suite
22 mars 2011

J'aime le train

(26 septembre 2006)

Cette semaine a été difficile et extrêmement chargée, ce qui explique, entre autres, mon silence radio...

Bref, durant cette semaine, j'ai du prendre le train.
J'aime le train. Ce moyen de transport m'emmène, outre à destination, dans un monde intérieur ...

En prenant le train, j'ai souvent recontré, l'espace d'un trajet, des personnages dignes d'une description de Zola ... En ce lieu "social" toutes les cultures, tous les milieux sociaux, toutes les vies intérieurs, toutes les raisons de voyager se réunissent sans conflits, sans guerre ...

Mon trajet "aller" :

J'étais assise et j'observais ... à ma droite papotaient deux japonnais. "hum, sans doute en vacances" me disais-je.
En face, lisant un magazine, une jeune fille typée "italienne". La douceur de son regard et son léger sourire m'ont paru apaisants.
A côté d'elle, le visage un peu marquée d'un petit bonhomme type "brésilien", ces bras portent des cicatrices et son regard limité par sa casquette se perd dans le vide. "Une vie pas facile?" me vint à l'esprit.
En diagonale un jeune homme, sans doute étudiant, typé "nordique" et à ma gauche, un gaillard typé euh ... Yul Brynner (Ben oui, j'ai pas trouvé mieux) ...

En tout cas, durant ce trajet, je me suis sentie heureuse de la diversité de ce monde humain, cette richesse que tant contestent! (surtaout en cette période de cantonales : 22 mars 2011)

Mon trajet "retour" :

A une place située en diagonale de la mienne était assise une mamie. Au premier abord, rien d'exceptionnel. Ces vêtements classiques sur son corps fragile, son visage buriné par les années et son regard inquiet et vigilant sur ce monde moderne lui donnaient l'air d'une simple mamie racontant conte de fée. Quel âge pouvait-elle avoir? Je dirais dans les 80 ans. Je la regardais, là, portant sur elle un regard doux à la limite de l'affection.
A un moment, elle a sorti un livre documentaire sur les Dieux, un ouvrage apparement un peu philosophique. En même temps, un CD de musique classique glissa de son sac. Là, mes pensées se sont bousculées : "Si ça se trouve, elle était Ingénieur de Recherche ou Pianiste?". J'essayais alors de m'imaginer son visage plus jeune ... "Elle était belle et les a fait damner?"... Comment imaginer toute une vie, toutes ses joies, ses combats, ses blessures, ses espoirs? Le regard que je posais sur elle avait changé et là j'aurais aimé qu'elle me raconte ...

Une conclusion à tout ça?
C'est sûr, l'habit ne fait pas le moine! (trop balèze la conclusion, non?)

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15 mars 2011

Des gens pas comme les autres

(12 juillet 2006)

Je me souviens, il y a 10 ans environ, une exposition exceptionnelle était de passage à Paris, au Musée d'Orsay. C'était l'Exposition BARNES et à l'époque ma tatimichèle (je sais c'est aussi neuneu que latataflo mais celui qu'est po content j'y pète les dents, ok?) m'avait fait un grand plaisir en m'emmenant la voir.

Cette exposition dans ce musée si particulier (une ancienne gare) m'a remplie à l'époque d'un sentiment de joie et d'admiration (Euh, ... serais-ce parce que je suis fille de cheminot? Nonnnn, c'était bien les oeuvres si bien mises en valeur) ... non, de joie par les oeuvres si rares et d'admiration à cause de l'histoire de ces oeuvres et de leur propriétaire Albert BARNES :

Albert C. Barnes (1872-1951) etait un physicien diplômé doublé d'un homme d'affaires. Passionné d'art et d'éducation, il s'est amuse a acheter des ouvres d'art dont personne ne veut vraiment. Son immense collection de peintures comptant 181 Renoir, 69 Cézanne, 46 Picasso, etc, lui donnera l'idée de "préconiser l'éducation systématique de l'art pour tous les humains".
Il donne la possibilité à tous, sans discrimination, d'avoir accès à sa collection.

Pour en savoir plus : http://www.aquarelle.ca/fev98/barnes.html

Y a des gens ... comme ça ...

11 janvier 2011

Les agents immobiliers (18 octobre 2006)

Dernièrement, on a besoin d'une estimation pour une maison que nous allons mettre en vente. Nous avons donc fait venir des agents immobiliers, 15 au total! Vous allez me dire "ça va pas dans vote teutê!", mais en réalité au début on avait prévu 5 estimations mais le déroulement a été imprévu, digne d'un sketch!

Yep! 100 000 euros d'écart entre la plus basse et la plus haute estimation! Non, j'déconne pas, on n'y croyait pas nous même...

Puis, de vrais clowns, chacun a fait un show différent pour pêcher un mandat, on a eu :

* Le genre "bon pote" qui vous tape sur l'épaule en disant "Arf, pas de chichis, appelez-moi Gilles!", il surestime la maison histoire d'appâter et quand on lui dit qu'on ne lui signerait pas de mandat, il fait du forcing, genre "Si j'ai un client (fictif!), j'peux vous l'amener quand même?",... (Niarf, n'insiste pas Bébé t'auras pas de mandat!)

* Le genre "Hyper-pro", qui vous la joue "j'suis dans le métier depuis 20 ans, la loi, le marché et la fiscalité n'ont pas secret pour moi, votre maison, no problem pour moi". Cela dit, son estimation était cohérente.

* Le genre "Gonflé à bloc", dont la réputation n'est plus à faire. Méprisant, hautain, il vous sort d'une façon expéditive, "moi, mon prix, c'est ça ... et c'est non discutable et si mes collègues pensent autrement, bof, c'est parce qu'ils doivent être trop jeunes!". (Euh, t'es sympa, tu vas te la pêter ailleurs!)

* Le genre "Bip-bip" : tour de la maison 14 min, pas de questions, au revoir, .... euh, ben on se rappelle alors? Upsss, vous n'avez pas mon numéro! ... Trop tard!

* Le genre "Toi j'vais te croquer", comme dans les films, elle s'adresse surtout à l'homme... roulement de paupières, talons aiguilles, collants résilles et décolleté... Perso, j'suis pas très fan et franchement, son estimation était plus qu'excessive!

Mais soyons positifs, on en a eu de très bien et on en a choisi deux, sérieux semble t-il et naturels...

11 janvier 2011

Betise humaine (15 novembre 2006)

Revenons à Momo, bon il s'appelle Maurice (personne  ne s'en serait douté...). Disons qu'à 45 ans, il s'est dit que passer son permis moto serait sympa (d'accord, il s'est peut être dit aussi, "si Latataflo l'a eu, pourquoi pas moi?" et si c'est le cas, j'suis bien contente...)...

Le permis moto, pour ceux qui ne le savent pas est composé de 2 épreuves :
* "Le plateau" (je dirais que c'est l'épreuve la plus difficile) : épreuve sur piste où l'élève fait 3 parcours (1 slalom  en poussant la moto, 1 au ralenti et 1 rapide), il montre qu'il connait sa moto (vérification des organes de sécurité) et qu'il connait le code de la route et les difficultés de la route en moto (questionnaire spécifique).

* "La route" : épreuve  de conduite sur la route pour voir comment évolue l'élève en conditions réelles, dans la circulation.

Donc, notre Momo a passé le permis, il a eu le plateau il y a 2 semaines et la route avant hier...

Là, on pourrait se dire que la seule question qui se pose est :
"Que vais-je acheter comme moto?"

Et bien non car il vient de se faire voler son "traffic", un vieux camion pourrave... oh, ce n'est pas tant le camion qui le chagrine mais si vous connaissiez cet homme, vous seriez désolé pour lui...

Oui, Momo, c'est la gentillesse même, une crème, un homme qui aime profondemment les gens, les aider, les dépanner et c'est en ça que le traffic avait lieu d'être... Un idéaliste toujours prêt à rendre service sans contre partie, sans arrière pensée, bref un gentil, un vrai!

Le traffic a été retrouvé, ils (qui?) l'ont volé, ils ont viré tout ce qu'il y avait dedans, ils ont transporté je ne sais pas quoi puis l'ont brûlé à quelques km de là...

Momo ne pensant pas qu'on volerait un tel vieux camion sans grande valeur et de plus de 15 ans ne l'avait pas assuré contre le vol...

Je ne comprends pas les voleurs ... j'essaye, je n'y arrive pas, qu'est-ce qui pousse à porter préjudice à de braves gens, si encore ils s'attaquaient à l'Elysée, ils viseraient gros mais là... Ah oui, c'est tellement plus facile!!! (j'arrête sinon je vais être grossière!!!!)

Moi ça me révolte...

Voilà l'archétype de la bêtise humaine!

9 janvier 2011

Les papas, ces petits compagnons sensibles? (20 aout 2008)

Durant une grossesse, les hommes sont souvent mis de côté, parfois par la mère qui s'attribue cette maternité (roh la vilaine!), mais le plus souvent, c'est par la société, on ne parle de l'enfant qu'à la mère sans même souvent jeter un regard au père. Il est dommage de ne laisser que si peu de place à l'homme, du moins à ceux qui se sentent vraiment concernés.

Tels les "gluons" de Téléchat (pour ceux qui connaissent), l'homme se sent frustré de ne pouvoir assister que passivement à la grossesse, puis, souvent le corps médical, même s'il a beaucoup évolué, ne laisse que peu de place aux papas ... Parfois, un gynéco ou une sage-femme tente de lui donner maladroitement un rôle mais surtout c'est au quotidien qu'il se sent laissé pour compte (pov'ch'titpère).

Aussi, moi je tiens à préciser que le rôle de mon mari a été primordial durant cette grossesse. Oh, c'est sûr, pendant que je prenais allègrement 16 kg, lui en perdait 13 ; pendant que je traînais ma misère, lui reprenait les sport (le poil luisant, l'oeil vif, il se préparait ainsi à l'arrivé de son nouveau compagnon de jeux).

Mais surtout, tout au long, il a été patient, prenant soin de moi, de nous ... ne pouvant me mouvoir comme je voulais, il a été un réconfort physique soulevant, déplaçant les charges lourdes (quel Saint Bernard ce doudou, enfin oui, sans oublier le tonnelet de "3 rivières" autour du cou)... Puis, il a été d'un grand réconfort moral, au long de la grossesse, pour l'accouchement et le retour à la maison...

Mais trève de plaisanteries, je tiens à rendre hommage à tous les papas attentionnés :

bravo à tous ces "papas de compète"...

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9 janvier 2011

Les voisins (10 aout 2008)

Un petit tour sur le blog de Jojo m'a inspiré. Elle fait allusion à sa grincheuse de voisine.

Voici donc pour le fun quelques portraits de voisins d'appart :

L'introverti : vous le croisez dans l'escalier et il ne vous regarde pas quand il jète son "bjour" d'outre tombe. Il conserve le mystère pour lui : génie ou psychopathe? (au moins, il n'est pas chiant)

Le voisin direct qui vous lance au détour d'une conversation : "moi, les voisins sont po mes amis, chacun chez soi, j'veux pas être envahi". (Ca a l'avantage d'être clair d'entrée)

L'encyclopédie historique du quartier : il est là depuis 30 ans, il les a tous connus, il connaît toutes les histoires du coin (... le petit couple bien gentil, les façades avant qu'elles soient refaites...)

Le reporter pour Voici : il connait tous les potins du coin, il interprète tous les faits et gestes de chacun et évidemment ne garde rien pour lui.

L'étudiant : il bringue 4 soirs sur 7 et sous estime souvent le bruit que ses potes font (celui là, je ne l'ai pas eu mais je pense à ma meilleure amie)

On pourrait croire qu'en maison, on est plus tranquille, et bien, pas du tout :

Le dictateur : il veut que tout soit comme il l'a décidé et il vous dicte même quoi faire chez vous : "vous devriez couper votre poirier, vous devriez mettre ça ailleurs ..."

Le faux cul : il est copain avec tout le monde et n'hésite pas à débarquer chez vous quand vous pouvez lui servir mais il tape aussi dans le dos de tout le monde.

Le mine de rien : il fait comme s'il ne savait rien. Il n'a jamais rien vu, rien entendu.

Puis parfois, il y a le sympa, celui avec qui ce sera cool, celui qui deviendra un copain, mais celui là; il est rare ...

Et vous, quel voisin êtes vous?

21 décembre 2010

Les banquiers (27 octobre 2007)

Nous avons du rencontrer des banquiers pour financer un projet. Nous avons alors découvert un panel de personnages singuliers. Je vais vous dépeindre leurs portraits.

 

Tout d'abord, la bonne élève : son bureau est impeccable, organisé. Elle écoute studieusement les clients et pose les questions dans l'ordre. Elle ne montre ni enthousiasme, ni froideur et ne raisonne qu'avec les chiffres qu'elle compare scrupuleusement aux objectifs et statistiques de la banque pour laquelle elle travaille. Bref, elle est très formatée, purement professionnelle.

 

Ensuite, "Tronche de 1er de la classe, rillettes sous le bras" (merci Coluche) : il vous reçoit en retard mais ne s'excuse pas (après tout, c'est vous qui venez le supplier). Son bureau est parfait avec juste quelques post it pour montrer qu'il est over booké. Outre ces petites lunettes rondes, il arbore une jolie chemise jaune pâle à manches courtes tant il fait chaud dans son bureau. Une cravate jaune avec de petits personnages rouges vient lui donner ce fabuleux style "jeune cadre dynamique" limite bobo. La suffisance qu'il dégage quand il vous parle est le témoin de la façon dont il conçoit sa fonction.

 

Puis, on a eu la joie de rencontrer aussi le "moi j'suis un prolétaire". Il vous reçoit avec la chemise à carreaux et le jean, les mains dans les poches en vous disant "avant, j'étais technicien agricole", histoire de vous montrer qu'il est un banquier du peuple! Il est votre pote ; il vous parle comme au bistrot et n'en dit pas trop sur les finances de peur que vous ne compreniez pas. Et au final, il vous demande une tonne de paperasse afin de transmettre à la commission. Bref, à voir!

 

Vous avez aussi, le bosseur. Il vous reçoit entre midi et deux, il prend une tonne de notes, vous posent une tonne de questions mais n'écoute pas vraiment ce que vous dites, ne s'intéresse pas vraiment à ce que vous proposez. Pour lui, vous êtes un dossier, c'est un parfait technicien mais surtout, il donne l'impression de faire ce métier de façon mécanique parce qu'il faut bien faire quelque chose dans la vie!

 

Et enfin, vous avez l'enthousiaste, le warrior. Son costume parfaitement ajusté lui donne un air sérieux mais sa coupe de cheveux un peu en bataille montre son côté "je prends des libertés". Il est LE chef, LE décisionnaire bien qu'il demande toujours l'avis de ces collaborateurs. Il écoute, prend des notes, s'intéresse, dialogue, et essaye d'étudier le dossier, de trouver des solutions. Il est à fond, il veut absolument vous avoir comme client quand vous l'avez convaincu.

 

Devinez qui on a choisi?

 

Qui a dit que "tous les banquiers se ressemblent"?

25 novembre 2010

Sophie . G (21 septembre 2010)

Confidences

Avant que la presse à scandale ne s'empare de l'histoire, Sophie la girafe a tenue à faire une déclaration : elle fréquente, depuis de longues années maintenant, le milieu S.M. Sous le pseudo de Sophie . G, elle avoue aimer être dominée. On comprend mieux maintenant pourquoi, depuis des décennies, elle accepte de se faire frapper, écarteler, mordre les pattes, étrangler jusqu'à ce qu'elle couine, sans oublier se faire baver dessus tant et plus avant d'être jetée par terre ..

Après de longues années d'étude de la psychologie des girafes en plastique, j'ai enfin compris ...sophie_la_girafe

13 novembre 2010

Balade au gré des mots... (13 août 2006)

Hier, j'étais vautrée sur mon lit, je papotais avec mon doudou quand soudain une question existentielle vint perfidement insinuer le doute dans notre esprit :
"Ah, damned, 'indépendamment' ça prend 1 M ou 2 M?"
Vite, je saisis le Petit Larousse (je le kiffe à donf celui là) et je m'exclame alors "Ouf, ce mot prend généreusement 2 M!"
Là, vous vous dites, ils sont déjantés (si si, arrêtez j'vous vois!)... ben pas faux ... mais bref...
Du coup, alors que mon doudou m'abandonne lâchement au profit d'un téléphone portable en rut, moi, je reste là, le Petit Larousse délicatement écrasé sur mes genoux ...
A ce moment là, je me dis :
"Alors là ma fille, 3 options :
- soit tu fais de la muscu avec
- soit tu le jètes sur la table comme un taïkonaute dans l'espace
- soit tu t'instruis un peu (faut bien se la jouer Bobo des fois).
La 3ème solution me paraissant plus logique et surtout moins fatigante, je me mets à fouiner dans le dico et je découvre alors que tous les mots que je viens de souligner dans ce texte viennent de rentrer dans le dictionnaire ... étonnant non? (merci M Cyclopède)
Et, dans les pages roses (qui ne sont pas les pages cochonnes), j'ai trouvé les "proverbes, sentences et maximes"...
Allez, tout le monde a eu droit un jour à "Après la pluie vient le beau temps" ... ben, en ce moment, c'est gagné! ou "Bien mal acquis ne profite jamais" ... oui, demandez à Berlusconi s'il ne profite pas!
Mes préférées, dans la série "phrase à la noix" restant tout de même "Quand le chien aboie, la caravane passe", "Tends la joue gauche"...
Mais j'en ai trouvé une bonne, digne d'une blague de Benny Hill, placez-moi ça dans un repas de famille tiens : "La caque sent toujours le hareng"
Finalement, de ce voyage chez mon Petit Larousse, j'ai retenu :
- que de lieux communs et de phrases toutes faites quand on n'a rien d'autre à dire!
- que ce moment de plongée en mots troubles m'a plu...

Alors, Larousse ... tout schuss

11 novembre 2010

So Suisses! (4 février 2008)

Vous allez vous rendre compte que je parle souvent des suisses et de leur pays de façon positive mais je tiens à l'affirmer haut et fort : les suisses ont des défauts!

D'abord, ils sont suisses ... alors qu'ils auraient pu être français ... ah, les tares de la généalogie!

Ensuite, ils sont petits les suisses. Bon, je sais, elle est de type CE1 mais je n'ai pas que des qualités non plus...

Ils mangent de la soupe n'importe quand ... Ah bon, les jurassiens aussi? "Deedee, mange la soupe de la Marie-Claire!" (désolée, je m'égare, c'était un message perso...)

Puis, ils parlent bizarre ; ils disent des trucs du genre, "ok, ça joue...", "allez, tout de bon", "vous êtes sur france ?"... puis des fois, ils ne se comprennent pas entre eux, c'est dire! C'est sûr, avec des trucs du genre : "hallo, schön Luna!", "... morgen", "tchüs", ...  pi chui sure qu'y disent ça exprès en plus!

Les suisses ne roulent pas comme nous : ils roulent majoritairement sur la fil de droite sur l'autoroute, ne déboitent pas n'importe où et ne slaloment pas ... là, faut le dire, ils déconnent, ils pourraient quand même rouler comme des cons!


Non, non, je vous le dis, les suisses ont des défaut!

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